Donner, c'est recevoir.
Partager, c'est s'enrichir.
Les deux ensemble, c'est aimer.
jeudi 23 décembre 2010
mercredi 15 décembre 2010
Extraits d'amour
Si tu es dans ton lit. je me coucherai sur toi. je t'embrasserai la bouche et j'entrerai en toi très profondément pour ne faire plus qu'un seul corps avec toi. j'irai entre tes reins en poussées de plus en plus fortes jusqu'à t'inonder de plaisir suprême et que ton corps soit parcouru de vibrations violentes jusqu'à l'extase finale. et je verserai ma semence au fond de toi en giclées de bonheur quand tu me serres fortement contre tes seins pendant que nos lèvres sont soudées dans un torrent de salives salées. et je m'endormirai en toi bercé par tes "je t'aime" .......
samedi 11 décembre 2010
vendredi 10 décembre 2010
Chuva de prata
Se tem luar no céu
Retira o véu e faz chover
Sobre o nosso amor
Chuva de prata que cai sem parar
Quase me mata de tanto esperar
Um beijo molhado de luz
Sela o nosso amor
Basta um pouquinho de mel pra adoçar
Deixa cair o seu véu sobre nós
A lua bonita no céu
Molha o nosso amor
Toda vez que o amor disser vem comigo
Vai sem medo de se arrepender
Você deve acreditar no que é lindo
Pode ir fundo, isso é que é viver
Cola seu rosto no meu, vem dançar
Pinga seu nome no breu pra ficar
Enquanto se esquece de mim
Lembra da canção
Toda vez que o amor disser vem comigo
Vai sem medo de se arrepender
Você deve acreditar no que eu digo
Pode ir fundo, isso é que é viver
Chuva de prata que cai sem parar
Quase me mata de tanto esperar
Um beijo molhado de luz
Sela o nosso amor
Enquanto se esquece de mim
Lembra da canção
A lua bonita no céu
Molha o nosso amor
Chuva de prata
Retira o véu e faz chover
Sobre o nosso amor
Chuva de prata que cai sem parar
Quase me mata de tanto esperar
Um beijo molhado de luz
Sela o nosso amor
Basta um pouquinho de mel pra adoçar
Deixa cair o seu véu sobre nós
A lua bonita no céu
Molha o nosso amor
Toda vez que o amor disser vem comigo
Vai sem medo de se arrepender
Você deve acreditar no que é lindo
Pode ir fundo, isso é que é viver
Cola seu rosto no meu, vem dançar
Pinga seu nome no breu pra ficar
Enquanto se esquece de mim
Lembra da canção
Toda vez que o amor disser vem comigo
Vai sem medo de se arrepender
Você deve acreditar no que eu digo
Pode ir fundo, isso é que é viver
Chuva de prata que cai sem parar
Quase me mata de tanto esperar
Um beijo molhado de luz
Sela o nosso amor
Enquanto se esquece de mim
Lembra da canção
A lua bonita no céu
Molha o nosso amor
Chuva de prata
Hericourt , j'y cours
Demain, je pars pour Hericourt. Un sejour de quelques jours en apnee loin de la vie parisienne. Samedi concert de l'hiver pour commencer. Puis des milliers de photos en perspective a realiser. La famille et des amis m'attendent pour les fetes de fin d'annee.
Extrait de Analfabetismo : causas e conseqüências.
O escritor João Cabral de Mello Netto (Nordestino de Recife) afirma em seu poema "Tecendo a Manhã", que o "hoje" é nosso para formarmos uma nova sociedade. Cada um pode fazer a sua parte, contribuindo com o coletivo, através da percepção dos problemas sociais que assolam o Brasil e do engajamento para a resolução destes: "
TECENDO A MANHÃ
Um galo sozinho não tece uma manhã:
ele precisará sempre de outros galos.
De um que apanhe o grito que ele
e o lance a outro; de um galo
que apanhe o grito que um galo antes
e o lance a outro; e de outros galos
que com muitos galos se cruzem
os fios de sol de seus gritos de galo,
para que a manhã, desde uma teia tênue,
se vá tecendo , entre todos os galos.
Analfabetismo : causas e conseqüências.
TECENDO A MANHÃ
Um galo sozinho não tece uma manhã:
ele precisará sempre de outros galos.
De um que apanhe o grito que ele
e o lance a outro; de um galo
que apanhe o grito que um galo antes
e o lance a outro; e de outros galos
que com muitos galos se cruzem
os fios de sol de seus gritos de galo,
para que a manhã, desde uma teia tênue,
se vá tecendo , entre todos os galos.
Analfabetismo : causas e conseqüências.
mercredi 8 décembre 2010
Beautiful words
Fica sempre um pouco de perfume
nas mãos que oferecem rosas
Dá um pouco do que você tem
a aquele que tem menos ainda
nas mãos que oferecem rosas
Dá um pouco do que você tem
a aquele que tem menos ainda
lundi 6 décembre 2010
Fin de nuit confidente
Allez le coq chante déjà
Sèche tes larmes
Et laisse venir la rosée du matin
Te maquiller les yeux de mille feux ardents
Pour que l'éclat du prochain soleil levant
Apparaît au ciel comme une lueur de luciole.
D'une etoile de mon coeur
Quero vida
Quero uma vida plena
Que eu possa olhar o céu azul
E querer
Voar
E ao mesmo tempo
Sentir
Meus pés no chão
Quero um abraço
Sincero
Que me faça
Sentir
O bater de seu
Coração a me dizer
A mo vo CE A mo vo CE....
Em batidas rápidas...
Em lentas batidas
O compasso
É o que pouco importa
Mas...
que o amor fique
Mesmo quando ele parar de bater.
Afinal, é a marca de bem ser amado
Que me acompanhará até a eternidade.
Quero uma vida plena
Que eu possa olhar o céu azul
E querer
Voar
E ao mesmo tempo
Sentir
Meus pés no chão
Quero um abraço
Sincero
Que me faça
Sentir
O bater de seu
Coração a me dizer
A mo vo CE A mo vo CE....
Em batidas rápidas...
Em lentas batidas
O compasso
É o que pouco importa
Mas...
que o amor fique
Mesmo quando ele parar de bater.
Afinal, é a marca de bem ser amado
Que me acompanhará até a eternidade.
dimanche 5 décembre 2010
Reveries
Première Nuit.
Je ferme seulement les yeux
et je te vois
comme une étoile lointaine
belle et inaccessible à la fois.
Tu es étendue à côté de moi.
Nue.
Je t'embrasse longuement dans le cou
puis le bord de tes épaules.
Je descends lentement vers ta gorge offerte
frôlant mes lèvres délicieusement la pointe de tes seins
Je prends le bout entre mes lèvres pincées,
je mordille légèrement cette délicate chair
et tu pousses un petit cri de surprise mêlée de plaisir.
Je reviens sur ta bouche que j'embrasse goulûment.
Ma langue s'enroule autour de la tienne
et tu pousses un long gémissement
en m'enveloppant de tes bras.
Tes mains passent dans mes cheveux et poussent ma tête contre ton visage.
Mes mains caressent lentement tes longs cheveux
puis elles descendent le long de ton dos en légers effleurements.
Je sens tes hanches se hisser vibrantes de désir
quand mes doigts touchent le bas de tes reins.
Tu me murmures des mots inaudibles.
Je quitte tes lèvres pour aller vers tes seins que je frôle délicatement.
Puis ma langue s'attarde vers le creux de ton ventre
autour de ton nombril.
Tes mains guident ma tête et me poussent encore plus bas
vers ton triangle de soie déjà humide de plaisir.
Ma bouche en fait lentement le tour.
Tu te cabres un peu
et doucement tu écartes tes jambes pour offrir à ma vue
ta chair la plus intime.
Je commence à fouiller de ma langue
ce pubis doux et chaleureux.
Je sens un goût salé
quand je passe sur ton petit bouton de chair
qui durcit lentement dans ma bouche.
J'entends ta respiration s'arrêter,
suspendue puis reprendre,
haletante comme le bruit des vagues
qui te submergent et t'emportent au loin
au rythme du va-et-vient de mes lèvres
.....
Ma langue descend vers la petite entrée
et force le chemin pour progresser vers l'intérieur.
Tu sursautes et soulèves tes jambes.
Je sens tes mains sur ma nuque
me poussant plus en avant vers ton sexe alanguie.
Tu gémis doucement
comme un murmure puis d'une voix plus forte
tu émets des petits cris, à perdre haleine.
Ma langue fouille profondément ta chair
dont le liquide se répand dans ma bouche comme un torrent de saveurs.
"Encore, encore", ta voix se fait comme une prière.
Tes hanches basculent de droite à gauche en vagues incessantes.
Tu pousses sur tes jambes et ton corps se soulève comme un volcan.
Ton corps est en feu
et mes lèvres inquisitrices ne font que l'attiser encore plus.
Enfin nos mouvements se complètent dans cette danse de l'amour où
rien ne peut interrompre.
Ton corps se fait plus dur et éperdu.
Quand soudain, tu lanças un grand cri.
Ton corps fut pris de forts soubresauts.
Tes mains appuient fermement sur ma nuque
comme si tu voulais t'agripper à une bouée en perdition
balancée par les milliers de vagues de plaisir
qui ondulent de plus en plus fort ton corps vers une ultime rupture.
Ton sexe inonda ma bouche d'un fleuve de liqueurs
que j'avale avec bonheur.
Un instant ...
suspendu dans le temps et l'espace
Une éternité ....
Puis ta respiration redevient plus calme.
Je donne un léger baiser sur le bouton de chair qui pointait
plus dur, plus volumineux, plus voluptueux que jamais
et qui semble vibrer au léger toucher de ma langue.
Comme un diapason électrique ...
Ton corps se soulève de nouveau.
Ma bouche enveloppe, suce, avale.
Ma langue balaie le pourtour de ton sexe ruisselant.
Tes cris reviennent plus forts
Je bouge ma tête de haut en bas
sans quitter des lèvres ta délicate chair rose.
Tes mains se crispent violemment sur mes cheveux.
Tes hanches recommencent à rouler de haut en bas.
Je lève mes yeux vers ton visage.
Ta bouche est entrouverte, cherchant l'air
de longs gémissements en sortent comme une psalmodie.
Ta langue émergea par à-coups, passa et repassa sur tes lèvres crispées.
Je sens vibrer ta chair entre mes lèvres.
Tu poussas d'un grand effort sur tes jambes.
Et ton corps devient comme un pont suspendu par le plaisir extrême.
Un instant, une éternité ...
Et soudain ton corps retomba lourdement sur le lit, comme exténué, vide de vie.
Une seconde de répit et tes jambes s'élevèrent comme un arc-en-ciel
et s'enroulèrent autour de mon cou
m'enfermant inexorablement dans le creux de ton corps.
Ta respiration devient saccadée,
tes cris encore plus forts.
Ta tête est tournée vers un côté comme forcée par une main invisible.
Tes cheveux sont éparpillés sur ton front,
ta langue refit mille fois le tour de ta bouche
et tes mains plus fermes, plus fortes sur ma nuque.
Je frotte le bout de ma langue sur le bouton de chair durci
qui vibre encore et encore.
Ta voix se fait implorante puis d'un seul coup, drôlement autoritaire ....
A la suite d'une litanie de sons étouffés,
ton corps fut soudain comme suspendue.
Tes reins décollèrent du lit.
Arc-boutée sur moi, tu lanças un grand cri.
J'allongeai le bras pour tenter de couvrir ta bouche de ma main.
Trop tard !
Une explosion de plaisir t'inonde et durcit ton corps. Ton cri transperça le noir de la nuit et monta vers les étoiles.
Et tu retomba lourdement, sur les draps, agitée de grandes secousses ininterrompues.
Ton visage est fermé et crispé de jouissance.
Un grondement retenu ...
Un temps,
un instant,
une éternité
....
Et vint alors le silence.
Un temps,
un instant,
une éternité
....
Tu ouvres de nouveau les yeux.
Ton regard est vide, perdue.
Je sens ton corps se détendre lentement.
Tes mains plus douces caressent mes cheveux
Ta respiration se ralentit.
Tu refermes les yeux et pousses un long soupir.
Quelques soubresauts agitent encore ton ventre
comme le ressac d'un lointain tsunami.
Je quitte le creux de tes jambes
et je viens me coucher à côté de toi.
Tu soulèves la tête
et tu viens te nicher dans le creux de mon épaule
J'embrasse légèrement sur la bouche,
ta langue gourmande cherche la mienne
dans une dernière étreinte
pour un dernier baiser.
Je ferme seulement les yeux
et je te vois
comme une étoile lointaine
belle et inaccessible à la fois.
Tu es étendue à côté de moi.
Nue.
Je t'embrasse longuement dans le cou
puis le bord de tes épaules.
Je descends lentement vers ta gorge offerte
frôlant mes lèvres délicieusement la pointe de tes seins
Je prends le bout entre mes lèvres pincées,
je mordille légèrement cette délicate chair
et tu pousses un petit cri de surprise mêlée de plaisir.
Je reviens sur ta bouche que j'embrasse goulûment.
Ma langue s'enroule autour de la tienne
et tu pousses un long gémissement
en m'enveloppant de tes bras.
Tes mains passent dans mes cheveux et poussent ma tête contre ton visage.
Mes mains caressent lentement tes longs cheveux
puis elles descendent le long de ton dos en légers effleurements.
Je sens tes hanches se hisser vibrantes de désir
quand mes doigts touchent le bas de tes reins.
Tu me murmures des mots inaudibles.
Je quitte tes lèvres pour aller vers tes seins que je frôle délicatement.
Puis ma langue s'attarde vers le creux de ton ventre
autour de ton nombril.
Tes mains guident ma tête et me poussent encore plus bas
vers ton triangle de soie déjà humide de plaisir.
Ma bouche en fait lentement le tour.
Tu te cabres un peu
et doucement tu écartes tes jambes pour offrir à ma vue
ta chair la plus intime.
Je commence à fouiller de ma langue
ce pubis doux et chaleureux.
Je sens un goût salé
quand je passe sur ton petit bouton de chair
qui durcit lentement dans ma bouche.
J'entends ta respiration s'arrêter,
suspendue puis reprendre,
haletante comme le bruit des vagues
qui te submergent et t'emportent au loin
au rythme du va-et-vient de mes lèvres
.....
Ma langue descend vers la petite entrée
et force le chemin pour progresser vers l'intérieur.
Tu sursautes et soulèves tes jambes.
Je sens tes mains sur ma nuque
me poussant plus en avant vers ton sexe alanguie.
Tu gémis doucement
comme un murmure puis d'une voix plus forte
tu émets des petits cris, à perdre haleine.
Ma langue fouille profondément ta chair
dont le liquide se répand dans ma bouche comme un torrent de saveurs.
"Encore, encore", ta voix se fait comme une prière.
Tes hanches basculent de droite à gauche en vagues incessantes.
Tu pousses sur tes jambes et ton corps se soulève comme un volcan.
Ton corps est en feu
et mes lèvres inquisitrices ne font que l'attiser encore plus.
Enfin nos mouvements se complètent dans cette danse de l'amour où
rien ne peut interrompre.
Ton corps se fait plus dur et éperdu.
Quand soudain, tu lanças un grand cri.
Ton corps fut pris de forts soubresauts.
Tes mains appuient fermement sur ma nuque
comme si tu voulais t'agripper à une bouée en perdition
balancée par les milliers de vagues de plaisir
qui ondulent de plus en plus fort ton corps vers une ultime rupture.
Ton sexe inonda ma bouche d'un fleuve de liqueurs
que j'avale avec bonheur.
Un instant ...
suspendu dans le temps et l'espace
Une éternité ....
Puis ta respiration redevient plus calme.
Je donne un léger baiser sur le bouton de chair qui pointait
plus dur, plus volumineux, plus voluptueux que jamais
et qui semble vibrer au léger toucher de ma langue.
Comme un diapason électrique ...
Ton corps se soulève de nouveau.
Ma bouche enveloppe, suce, avale.
Ma langue balaie le pourtour de ton sexe ruisselant.
Tes cris reviennent plus forts
Je bouge ma tête de haut en bas
sans quitter des lèvres ta délicate chair rose.
Tes mains se crispent violemment sur mes cheveux.
Tes hanches recommencent à rouler de haut en bas.
Je lève mes yeux vers ton visage.
Ta bouche est entrouverte, cherchant l'air
de longs gémissements en sortent comme une psalmodie.
Ta langue émergea par à-coups, passa et repassa sur tes lèvres crispées.
Je sens vibrer ta chair entre mes lèvres.
Tu poussas d'un grand effort sur tes jambes.
Et ton corps devient comme un pont suspendu par le plaisir extrême.
Un instant, une éternité ...
Et soudain ton corps retomba lourdement sur le lit, comme exténué, vide de vie.
Une seconde de répit et tes jambes s'élevèrent comme un arc-en-ciel
et s'enroulèrent autour de mon cou
m'enfermant inexorablement dans le creux de ton corps.
Ta respiration devient saccadée,
tes cris encore plus forts.
Ta tête est tournée vers un côté comme forcée par une main invisible.
Tes cheveux sont éparpillés sur ton front,
ta langue refit mille fois le tour de ta bouche
et tes mains plus fermes, plus fortes sur ma nuque.
Je frotte le bout de ma langue sur le bouton de chair durci
qui vibre encore et encore.
Ta voix se fait implorante puis d'un seul coup, drôlement autoritaire ....
A la suite d'une litanie de sons étouffés,
ton corps fut soudain comme suspendue.
Tes reins décollèrent du lit.
Arc-boutée sur moi, tu lanças un grand cri.
J'allongeai le bras pour tenter de couvrir ta bouche de ma main.
Trop tard !
Une explosion de plaisir t'inonde et durcit ton corps. Ton cri transperça le noir de la nuit et monta vers les étoiles.
Et tu retomba lourdement, sur les draps, agitée de grandes secousses ininterrompues.
Ton visage est fermé et crispé de jouissance.
Un grondement retenu ...
Un temps,
un instant,
une éternité
....
Et vint alors le silence.
Un temps,
un instant,
une éternité
....
Tu ouvres de nouveau les yeux.
Ton regard est vide, perdue.
Je sens ton corps se détendre lentement.
Tes mains plus douces caressent mes cheveux
Ta respiration se ralentit.
Tu refermes les yeux et pousses un long soupir.
Quelques soubresauts agitent encore ton ventre
comme le ressac d'un lointain tsunami.
Je quitte le creux de tes jambes
et je viens me coucher à côté de toi.
Tu soulèves la tête
et tu viens te nicher dans le creux de mon épaule
J'embrasse légèrement sur la bouche,
ta langue gourmande cherche la mienne
dans une dernière étreinte
pour un dernier baiser.
samedi 4 décembre 2010
Bouddhisme : Nirvana
Pura filosofia do budismo onde atravessamos ciclos de vida para aprender e, em seguida, esquecer até que o êxtase da libertação da alma é chamado de Nirvana.
Apprentissage perpetuel
1 - Vous recevrez un corps. Vous pouvez l'aimer ou le détester, mais il sera à vous pendant ce tour.
2 - Vous allez apprendre des leçons. Vous êtes inscrit dans une école à temps plein, qu'on appelle la vie. Chaque jour dans cette école on ...a la possibilité de tirer des leçons. Vous pouvez, comme pour les cours, les trouver hors de propos et stupide.
3 - Il n'ya pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essais et d'erreurs : expérimentation. Les expériences qui n'ont pas marche font partie du processus, ainsi que celles qui sont reussies.
4 - Une leçon est répétée jusqu'à ce qu'elle soit assimilee. Chaque leçon vous est présentée sous diverses formes jusqu'à ce que vous ayez appris. Lorsque cela se produit, vous pouvez passer à la suivante.
5 - L'apprentissage ne s'arrête jamais. Il n'y a pas de vie sans leçons. Si vous êtes en vie, il y a des leçons à apprendre.
6 - "Là" n'est pas meilleur qu'"ici". Lorsque votre "là" devient "ici", vous trouverez alors un autre "là", qui, encore une fois, semblera meilleur qu'ici.
7 - Les autres ne sont que des miroirs de vous-meme. Vous ne pouvez pas aimer ou détester quelque chose sur une autre personne à moins qu'il ne reflète quelque chose que vous aimez ou détestez vus meme.
8 - Ce que vous faites de votre vie est de votre responsabilité. Vous avez toutes les ressources dont vous avez besoin, ce que vous en faites est votre problème.
9 - Les réponses sont en vous. Tout ce que vous avez à faire est de regarder, d'écouter et de faire confiance.
10 - Vous oublierez tout cela.
2 - Vous allez apprendre des leçons. Vous êtes inscrit dans une école à temps plein, qu'on appelle la vie. Chaque jour dans cette école on ...a la possibilité de tirer des leçons. Vous pouvez, comme pour les cours, les trouver hors de propos et stupide.
3 - Il n'ya pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essais et d'erreurs : expérimentation. Les expériences qui n'ont pas marche font partie du processus, ainsi que celles qui sont reussies.
4 - Une leçon est répétée jusqu'à ce qu'elle soit assimilee. Chaque leçon vous est présentée sous diverses formes jusqu'à ce que vous ayez appris. Lorsque cela se produit, vous pouvez passer à la suivante.
5 - L'apprentissage ne s'arrête jamais. Il n'y a pas de vie sans leçons. Si vous êtes en vie, il y a des leçons à apprendre.
6 - "Là" n'est pas meilleur qu'"ici". Lorsque votre "là" devient "ici", vous trouverez alors un autre "là", qui, encore une fois, semblera meilleur qu'ici.
7 - Les autres ne sont que des miroirs de vous-meme. Vous ne pouvez pas aimer ou détester quelque chose sur une autre personne à moins qu'il ne reflète quelque chose que vous aimez ou détestez vus meme.
8 - Ce que vous faites de votre vie est de votre responsabilité. Vous avez toutes les ressources dont vous avez besoin, ce que vous en faites est votre problème.
9 - Les réponses sont en vous. Tout ce que vous avez à faire est de regarder, d'écouter et de faire confiance.
10 - Vous oublierez tout cela.
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